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Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué

Pourquoi faire simple dans un monde complexe

Cette célèbre devise Shadok qui m’a été inspirée qui m’a été inspirée je ne sais trop comment ni pourquoi, m’accompagne depuis un bon moment.

Elle fait partie de ces leitmotivs récurrents que j’utilise dans mes échanges professionnels, mais pas seulement…

Un processus complexe à apprivoiser

Étant de nature « complexe », je suis constamment en questionnement, sur tout et parfois sur rien.

Alors, comment cela se manifeste-t-il ? C’est un savant mélange d’idées foisonnantes, d’émotions et de ressentis parfois anarchiques. Autrement dit, un « désordre créatif » que je dois continuellement canaliser et apprivoiser pour rester sur la bonne voie et poursuivre ma transformation personnelle.

Apprendre à faire simple quand on est « compliqué », c’est en quelque sorte le fil conducteur de ma vie.

Pourquoi faire simple : une approche naturelle et efficace

Cette intention, qui s’est imposée à moi avec le temps, fait désormais partie intégrante de mon mode de fonctionnement. Et naturellement, elle s’est étendue à mes activités professionnelles.

Quand j’aborde une problématique organisationnelle, je cherche instinctivement le « pourquoi du comment. »

Écouter, explorer, analyser, contrecarrer, anticiper me permettent de remarquer « l’ordinaire » et ainsi de trouver des solutions adaptées.

problématique organisationnelle

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

L'art de simplifier dans un monde complexe

L'art de simplifier dans un monde complexe

Observatrice infatigable, j’apprécie tout particulièrement la phase d’investigation

Me plonger dans une multitude d’informations, questionner, établir des liens, rebondir sur des intuitions, m’égarer parfois… tout cela m’aide à faire émerger des idées nouvelles, souvent inattendues.

En d’autres termes, c’est un va-et-vient incessant, presque jubilatoire, qui permet d’ouvrir le champ des possibles et de revenir à l’essentiel, à ce qui fait SENS.

Dans le monde d’aujourd’hui, de plus en plus complexe et volatile, il est crucial d’apprendre – ou de réapprendre – à faire simple. Cela nous permet de rester sur le bon cap et de continuer notre belle et GRANDE transformation.

Think Big, Act Small – Elon Musk

Osez la Pensée Barbare : une bouffée d’air frais pour vos réflexions !

Envie de sortir des sentiers battus ? Plongez dans les pensées de la fée barbare, notre espace dédié aux réflexions décalées et sans filtres.

Ici, Catherine Altmann, notre Fée Barbare, partage des perspectives inédites sur les défis d’aujourd’hui, toujours avec une touche de légèreté et d’espièglerie.

Des idées pour nourrir vos réflexions, bousculer les certitudes et, pourquoi pas, découvrir un nouveau regard sur votre quotidien professionnel. Alors, prêt à vous laisser surprendre ?

FAQ de la complexité

Garder une démarche qualité simple est indispensable pour rester réactif face aux changements. Aujourd’hui, les enjeux évoluent en permanence, qu’ils soient internes ou externes. Un système simple, agile et fluide permet à l’entreprise de s’adapter rapidement, sans être freiné par une complexité inutile. Moins de lourdeur administrative signifie plus de temps pour se concentrer sur l’essentiel : satisfaire les clients et saisir les opportunités du marché. En simplifiant, on gagne en clarté et en efficacité, deux atouts pour rester compétitif.

Un système de qualité trop complexe oblige l’entreprise à revoir l’ensemble de ses processus à chaque changement, nécessitant de nombreuses modifications de documents. Cela peut décourager les collaborateurs à ne plus s’impliquer activement dans la démarche. La lourdeur administrative devient alors un frein à la dynamique d’amélioration continue.

L’objectif est de rester factuel et de se concentrer sur l’essentiel, en adoptant la philosophie « voir grand pour agir petit« . Les référentiels, comme l’ISO, précisent les exigences mais pas le chemin pour les atteindre. Il est donc crucial de garder une approche simple sur le « comment » afin de ne pas complexifier le système, et ainsi éviter les non-conformités.